Gonzalo Semprún: Arquitecto y pintor en el recuerdo

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 por Ángel Díaz Arenas
Cerramos nuestro libro titulado Fin de ‘El largo viaje’ de Jorge Semprún: Vida, obra, méritos, familia, Santander, exilio, textos, premios, lenguas y voces1 con la siguiente frase de Jorge Semprún:

«Que nos quiten lo bailado».2
Un «Que nos quiten lo bailado»3, clausura de libro último y final sobre el que añadimos palabras de Pérez-Maura4 (FAM5):
Es providencial que concluya Usted su escrito/trabajo/documento coincidiendo con la muerte escalonada de los tres últimos hermanos Semprún-Maura6:
Adiós, luz de veranos…7


Gonzalo Semprún Maura: hombre y arquitecto: El tercero de los siete (7) hermanas y hermanos que compusieron la familia Semprún-Maura -1) Susana, 2) Maribel o María Isabel, 3) Gonzalo, 4) Jorge, 5) Álvaro, 6) Carlos y 7) Francisco- fue Gonzalo (1922-29.10.2011) Semprún Maura. El martes 1 de noviembre («día de Todos los Santos») de 2011 hacia las 12 del mediodía recibimos una llamada telefónica de María Elvira (Niza) en la que nos informaba que Gonzalo había fallecido el sábado 29 de octubre a las 6.30 horas de la mañana y en su propio lecho.

 Es más, nos comunicó que él le había llamado el viernes, pero al no estar en casa y de viaje en Italia, que éste le dejó un mensaje en el que se despedía de ella. Esto evidencia que sabía que iba a morir. 


El que escribe estas líneas no puede por menos que recordar que el día que le llamó (15.03.2011) que tuvieron ocasión de conversar muy cordial y amigablemente y el recuerdo que nos queda de él es la de un gran señor. 


Gracias Gonzalo y lamento no haberte vuelto a llamar. De Gonzalo escribe el también difunto Carlos Semprún en la página 41 de su Exilio8: «Gonzalo, el mayor de los varones, obtuvo su diploma de arquitecto en Ginebra, y hasta lo fue, durante años, en la Costa Azul Francesa».


 Y añade en la página 275: «Se manifestaron varias nostalgias y Gonzalo, con su humor sempruniano, bueno, el humor que algunos Semprunes tienen, declaró que era el responsable de la mayoría de los horrores que se habían construido en la Costa Azul durante treinta años». 


Es más, María Elvira nos comunica por correo del 4-11-2011 que el último lugar de reposo de Gonzalo Semprún Maura es «en St. Etienne de Tinée.»9 Y añade: «Y allí iré a meditar de vez en cuando». 


El que lo desee está invitado dice este escriba.10 Añadimos que Pérez-Maura nos comunicó por e-mail del 19 de octubre de 2009: «De los hermanos de Jorge Semprún creo que viven, hoy día, sólo: Maribel (vive en París donde se casó con un francés), Gonzalo (en la Costa Azul, con su segunda mujer), añadiendo por e-mail del 26.10.2009: «Gonzalo Semprún está casado ahora con Jacqueline Varaud. (...)». 


Pero María Elvira nos informa (después de haber leído nuestro texto) por correo del 28.03.2011: «Gonzalo sólo se ha casado por lo civil una vez el 17 de junio de 1943 hasta ahora con Jacqueline Varaud».


 Sobre este matrimonio escribe Carlos Semprún en la página 275 de su Exilio: «Gonzalo y Jacqueline…» Es evidente que al estar ya muerto no se casará ninguna otra vez más.11

Gonzalo Semprún Maura: Niza y pintura:



Lo escrito más arriba es más o menos lo que conocíamos y sabíamos de Gonzalo Semprún, ignorando completamente y María Elvira (una muy íntima amiga y vecina de él) tampoco nos lo dijo que se dedicaba a la pintura, algo que hemos aprendido al leer un artículo, cuya autora y título dicen Danielle de La Gorce:Les actualités de Nice et de la Côte d‘Azur”12, comunicando su textualidad en francés: «À l’occasion de la donation Jaqueline Semprun à la ville de Saint Étienne de Tinée, une exposition consacrée au peintre Gonzalo de Semprun est présentée du 8 au 28 février 2016 dans le hall du cinéma Le Riounet à Auron:


 EXPO GONZALO DE SEMPRUN- Architecte de profession, G

onzalo de Semprun n’a cessé de peindre toute sa vie des tableaux pour la plupart abstraits aux couleurs vives. Hélène Jourdan-Gassin, commissaire de l’exposition, raconte sa rencontre avec Gonzalo de Semprun, frère de Jorge Semprun, qui considérait son oeuvre davantage comme une recherche. Attaché à Auron où il avait construit un chalet pour son fils, Christian Corbel, moniteur bien connu de la station, il est enterré au côté de celui-ci dans le cimetière de Saint-Etienne-de-Tinée. “Exposition Gonzalo de Semprun/Du 8 au 28 février 2016/Hall du cinéma Le Riounet/AURON/Vernissage le 7 février 2016 à 17 heures“.

 


Jorge Semprún Maura y la obra de su hermano: Texte de Jorge Semprun sur l’oeuvre de son frère Gonzalo de Semprun: “Quelle catastrophe a-t-elle éparpillé les éléments matériels du monde, déstructurant toute idée d’ensemble, fragmentant la vision des paysages imaginables? 

Une catastrophe intime, peut-être. Qui aurait abouti à une sorte d’étrange sérénité. Paisiblement, en apparence du moins, le peintre réduit les bribes, les brindilles, les bouts épars de la réalité humaine – urbaine ou naturelle qui ont surnagé au déluge incertain. Il les met à plat, sans doute pour en faire le compte, l’inventaire. 


Pour que leur assemblage ou frottement produise l’étincelle du sens: l’annonce d’une signification. Voici les pièces du puzzle, du casse-tête chinois qu’est devenu le monde. Avec une obstination farouche, mais totalement dépourvue d’agressivité, le peintre nous livre les traces matérielles d’un monde à réinventer. Jorge Semprun, 1998.“»

Texte d’Hélène Jourdan-Gassin, commissaire de l’exposition“: Texte de Jorge Semprún al que sigue otro «”Texte d’Hélène Jourdan-Gassin, commissaire de l’exposition“ que expresa: Alors que Nathalie et Danielle de La Gorce travaillaient avec moi à la conception de la plaquette qui accompagne l’exposition des peintures de Gonzalo de Semprun, elles me demandèrent quelle œuvre de l’artiste je souhaitais voir accolée à mon texte et l’image qui me revint en mémoire fut cette peinture solaire accrochée au mur du salon des Semprun, lors de ma première visite… 


Sans doute à cause de mon goût pour la peinture, je n’oublierai jamais cette rencontre même si elle date de 1970… Fût-elle le déclencheur de mon travail autour de l’art contemporain? Je ne pourrai le certifier, mais elle en est cependant une des composantes comme quelques années plus tard, mes rencontres avec des artistes tels César, Arman, Ben, les créateurs de Support Surface, le Groupe 70 et de tous ceux qui ont constitué ce qu’on appelle aujourd’hui l’Ecole de Nice. Gonzalo de Semprun n’en faisait pas partie, d’abord parce qu’il était un peu plus âgé que ces artistes qu’il connaissait bien, Albert Chubac en particulier, mais parce que son métier d’architecte occupait son temps, mais pas tout son temps puisque à côté, il peignait sans relâche, laissant à Jacqueline, son épouse, un atelier de plus d’une centaine de toiles…Mais aussi parce qu’occupé à bâtir, il ne cherchait pas à se faire connaître à tout prix. 

Sa passion, il l’assouvissait dans le silence de son atelier et la communiquait davantage à ses amis et sa famille qu’à un public qu’il ne se sentait pas vraiment prêt à affronter, se disant être «dans la recherche, sans encore avoir vraiment trouvé…» Si j’évoque aujourd’hui ce recul par rapport à une reconnaissance, c’est que je m’y suis heurtée une fois faite mienne la profession de galeriste…


 Le temps et les circonstances m’ayant éloignée de cette famille illustre par bon nombre de ses membres, dont le plus célèbre fut Jorge Semprun, je retrouvai Gonzalo des années plus tard et à mes questions sur le devenir de son art, il répondait toujours avec sa trop grande modestie et d’une voix dont j’entends encore la douceur et l’imperceptible accent castillan: «ce ne sont que des recherches…» 

Lorsque ses enfants et leur mère se sont tournés vers moi pour que je les aide à faire connaître, hélas de manière posthume, l’œuvre de Gonzalo de Semprun, j’ai accepté avec joie cette marque de confiance et en découvrant ce fonds de peintures étonnant, j’ai fait des choix qui expriment, je l’espère, assez bien la richesse de cette peinture dans ses sujets, ses techniques, ses supports avec comme dénominateurs communs, un don incontestable de coloriste et une connaissance de l’équilibre dans la construction des formes. 


Cette œuvre essentiellement abstraite, exception faite de quelques portraits dont celui de Jacqueline, a-t-elle été influencée par les grands artistes du XXème siècle? Certainement comme l’est, consciemment ou inconsciemment, toute œuvre aujourd’hui. 


Disons que de la description figurative, Semprun glisse vers le corps en mouvement, je pense à Bachi Bouzouk, 1955 ou encore ce clin d’œil à Salvador Dali avec Toréador, 1953, puis à Danseurs, 1974 ou Clown dansant, 1974… Viennent ensuite des formes géométriques qui l’apparentent à certaines toiles de Juan Gris pour aller vers des constructions très architecturales, Grille rouge, 1974, Flèches, 1979, Les corps deviennent motifs dans Gambille, 1995, Embrouilles, 1994, Farandoles, 1997, pour laisser place aussi à de grandioses explosions de couleur. 


Si les peintures de Semprun m’évoquent les Espagnols Juan Gris, Dalí ou encore le Cubain Wifredo Lam, le Chilien Roberto Matta, c’est que l’essence de son œuvre est fondamentalement hispanique et que le rouge, sa couleur dominante, fait éclater une violence qui rappelle la tauromachie… mais libre à chacun de n’y voir que du feu! Vous vous demandez sans doute ce qui lie Gonzalo de Semprun à Saint-Etienne-de-Tinée et Auron?


 À Auron, l’architecte Semprun a construit pour son fils Christian Corbel, moniteur bien connu de la station, un charmant chalet dans la nature, et à Saint-Etienne, Gonzalo de Semprún et Christian Corbel reposent côte à côte, dans le cimetière de la cité. Jacqueline, épouse du peintre et mère du moniteur, a voulu célébrer cette présence en faisant don à Saint-Etienne-de-Tinée d’une vingtaine d’œuvres de son mari. Hélène Jourdan-Gassin, Commissaire de l’exposition».

 

Escrito al que sigue un «Texte de présentation du peintre»: «Gonzalo de Semprun est né en 1922 à Madrid dans une famille d’intellectuels et d’artistes, passionnés par la politique. L’Espagne est alors une monarchie, son grand-père maternel Antonio Maura a été à cinq reprises chef du gouvernement du roi Alphonse XIII. Son avenir semble tracé, une enfance choyée, une jeunesse dorée... 


Et c’est le contraire qui arrivera: sa vie va glisser de tragédie en tragédie. Première tragédie, la mort de sa mère en 1932, il a à peine dix ans. La République a remplacé la monarchie en 1931, son père, José María de Semprún, est nommé gouverneur de Tolède, un de ses oncles maternels Miguel Maura est ministre de l’Intérieur. 

En juillet 1936, une rébellion militaire, dirigée par le général Franco, se répand dans le pays: c’est la guerre civile. Les troupes franquistes se rapprochent du pays basque où toute la famille Semprun est en vacances, José María Semprún décide de se réfugier en France. 


C’est l’exil, la deuxième grande catastrophe. Ils quittent l’Espagne sans rien pouvoir emporter «même pas une photo de leur mère» dira Gonzalo. Leur errance les emmène de France en Suisse, puis aux Pays-Bas où le père est nommé ambassadeur d’Espagne. 


1939, victoire de Franco et disparition de la République. La famille s’installe alors en France, à Saint Prix dans la banlieue parisienne. Les deux frères aînés Jorge et Gonzalo terminent leurs études secondaires au Lycée Henri IV à Paris lorsque survient la troisième catastrophe: la seconde guerre mondiale et son cortège de barbaries. 

Après la guerre et un séjour dans un sanatorium suisse pour soigner une tuberculose, c’est à Genève que Gonzalo de Semprún entame des études d’architecture et c’est là qu’il commence à peindre pour ne plus jamais s’arrêter. 


L’architecte, le peintre vont s’attacher à «réinventer le monde» comme le dit si bien Jorge Semprun dans le beau texte qu’il écrit pour présenter l’exposition de son frère. Pour financer ses études, Gonzalo est obligé de travailler. 

Il sera traducteur à l’Organisation Mondiale de la Santé. C’est là qu’il rencontre Jacqueline qu’il épouse en 1953. Une fois son diplôme obtenu, un de ses camarades des Beaux Arts, Pierre Tobolka, lui propose de venir travailler avec lui à Nice dans le cabinet d’architecte qu’il vient d’ouvrir.


 Nous sommes en 1956 et tout de suite c’est l’éblouissement, le coup de foudre pour Nice et sa région; il ne quittera plus jamais cette ville où il va passer plus de cinquante ans. Gonzalo y retrouve deux cousins, deux fils de Miguel Maura, l’ancien ministre républicain. 


L’aîné Álvaro Maura est promoteur immobilier, ils vont donc travailler ensemble. Et, bien sûr, il continue à peindre mais contrairement à Genève où il était contraint faute d’argent de peindre sur des cartons, cette fois il le fera sur des toiles de plus en plus grand format. Cette activité, cette passion plutôt, lui a permis disait-il en souriant «d’éviter la pratique du golf et de la voile de plaisance». 


Mais elle ne l’a pas empêché d’explorer la région, de découvrir tous ses villages, d’Eze à Saint Martin Vésubie, d’Aspremont à Coaraze, en passant par Cagnes, Vence et Auron, où il construit un chalet pour son fils. Il y rencontre ses amis peintres: Albert Chubac à Aspremont, Ángel Ponce de Léon à Beaulieu. Dans la dernière partie de sa vie, après sa retraite, il va enfin pouvoir passer tout son temps à peindre. 


Il commence à montrer son oeuvre à des amis d’abord, puis à des connaisseurs comme Daniel Cordier et enfin à des galeristes - une exposition est organisée à Paris en 1998 à la galerie Pascal Gabert. La maladie va bientôt l’empêcher de poursuivre. Il décède en 2011. Selon ses voeux, il est enterré à côté de son fils Christian dans le petit cimetière de Saint-Étienne-de-Tinée. Danielle de La Gorce». MAIRIE DE NICE/5, RUE DE L’HOTEL DE VILLE/06364 NICE CEDEX 4/Tél: 04 97 13 20.


Gonzalo y Ángel son “buenos amigos”: Hoy sé Gonzalo que el escrito que un día publiqué en la creencia que era completo cojeaba y bastante por no decir que era inválido y aunque ya te hayas ido aquí intento completarlo y darlo nueva y última vida y muerte. Gracias, por tus palabras y tu destino. Saluda a los idos de tu familia en recuerdo de vuestros veranos estivales en Santander y particularmente en “Villa Suca” aquí te va un recuerdo que nos unirá para siempre:



 

Al que sumamos, ya que estamos hablando de pintura, de un “Ladrón de bicicletas”13  (1948) y sin Vittorio de Sica (1901-1974), aunque éstas estén bastante descacharrada/s e incluso robada/s:

 


Notas

1 Ángel Díaz Arenas (Santander, *1937): Fin de ‘El largo viaje’ de Jorge Semprún: Vida, obra, méritos, familia, Santander, exilio, textos, premios, lenguas y voces, (Frankfurt am Main, 2016). Peter Lang Edition.

2 Ángel Díaz Arenas: «Que nos quiten la bailado». Textos, vivencias y experiencias en la obra de Jorge Semprún, (Berlín, 2009). edition tranvía.

3 Jorge Semprún: ”De Federico Sánchez a ministro de Cultura: <Que nos quiten lo bailado>”, en: ABC,(Madrid, lunes 11 de julio de 1988), pág. 41.

4 Alfonso Berenguer Pérez Maura de La Peña. Fundación Antonio Maura. C / Antonio Maura, 18 - Bajo C. 28014 Madrid (España). Tel. 915 312 499. Fax. 91 531 24 99. [email protected]. E-mail: secretariafantoniomaura.org.

5 Fundación Antonio Maura. C / Antonio Maura, 18 - Bajo C. 28014 – Madrid (España). Tel. 915 312 499. Fax. 91 531 24 99. [email protected]. E-mail: secretariafantoniomaura.org.

6 Alude a Álvaro (1924-2.11.1978), Carlos (1926-23.03.2009) y Francisco (1928-22.05.1986); véase nuestro “5. Balance de una familia”, en: Fin de ‘El Largo viaje’ de Jorge Semprún. Vida, obra, méritos, familia, Santander, exilio, textos, premios, lenguas y voces, op.cit., págs. 184-198, apartado en el que los interesados pueden conocer con detalle el devenir, vivir y terminar de dicha familia.

7 Jorge Semprún: Adiós, luz de veranos..., (Barcelona, 1998). Versión castellana de Javier Albiñana. Tusquets Editores, diciendo su original francés: Adieu, vive clarté..., (Paris, 1998). Éditions Gallimard.

8 Carlos Semprún: El exilio fue una fiesta. Memoria informal de un español en París, (Barcelona, 1998). Editorial Planeta.

9 Saint-Étienne-de-Tinée (en occitano Sant Estève de Tiniá) es una población y comuna francesa, en la región de Provenza-Alpes-Costa Azul, departamento de Alpes Marítimos, en el distrito de Niza y cantón de Saint-Étienne-de-Tinée.

10 Gonzalo Semprún: ¿Laodisea o La Odisea? (Recuerdos, disquisiciones y ensoñaciones), (Madrid, 2013). La fotografía que reza al inicio de este escrito me fue enviada por María Elvira para preparar la portada de este libro que fue obra de ella y cuyo manuscrito me fue cursado para que lo viera y diera mi opinión. Gracias.

11 Cerramos esta “Introducción” agradeciendo profundamente a la Sra. Dña. María Elvira Allier (Mougins - Francia) por todas las informaciones que nos ha brindado y particularmente en todo lo que concierne a Gonzalo y su libro (del que hablaremos). Hacemos los mismo con profunda cordialidad y respeto por la larga correspondencia que hemos mantenido con el Sr. D. Alfonso Pérez-Maura (“Secretario General de la Fundación Antonio Maura” de Madrid) y, por último a “l’Association des Amis de Jorge Semprun” (Melun – France) y en especial a su Président, monsieur Laurent Bonsang, y a su trésorier de l’AAJS, monsieur Yves Schenfeigel. Gracias a todos. Aprovechamos la ocasión para ofrecer los datos de la Association des Amis de Jorge Semprun, 7 Avenue Patton • Bâtiment C • 77000 Melun • France. Contact: [email protected], [email protected].

12 Danielle de La Gorce: Les actualités de Nice et de la Côte d‘Azur”, en: Nice au Reendez-Vous, (Nice, 4 de février de 2016). Las otras tres (3) imágenes -fotografía del matrimonio y las dos pinturas- pertenecen a este escrito.

13 Véase la reproducción de la imagen presente en la página 28 del Abendzeitung. Kultur, (Múnich, martes 24 de noviembre de 2020), cuya leyenda dice: “Nur Komplett mit Schrottfarrad: Das Street-Art des britischen Künstlers Banksy auf einer Backsteinfassade in der Rothesay Avenue”. Léase Redacción, cuyo título dice “Banksy: el misterio de la bicicleta desaparecida de una obra del artista urbano” [en: BBC News Mundo, (Madrid, 22 noviembre de 2020)], cuyo breve texto informa: «La bicicleta de “la niña del hula-hula” desapareció. 

¿Fue un ladrón? ¿Alguien molesto con la obra? ¿Un bromista? Una bicicleta que formaba parte de la obra conocida como “la niña del hula-hula”, del artista urbano Banksy, desapareció.

 La última creación del artista de grafiti apareció el 13 de octubre en una calle residencial en Nottingham, en el centro de Inglaterra. Muestra a una niña haciendo hula-hula con un neumático al lado de una bicicleta a la que le faltaba la rueda trasera. Estaba ubicada afuera de un salón de belleza y este fin de semana fue cuando ocurrió la desaparición, lo que ha dejado a la obra incompleta». Ha hallado sustitución.